J'ai en affection les jeux du studio Vectorpark (Windosill, Feed The Head) tant pour la patte graphique que pour l'incongruité des énigmes auxquelles le joueur est confronté. Metamorphabet (2015) m'avait cependant laissé sur ma faim car trop orienté jeune public. GNOG n'est pas de Vectorpark mais c'est tout comme. Penser «out of the box » c'est bien, penser «out of the monster head», c'est en effet le défi que GNOG nous propose. Chaque tableau est un trip sous Ayahuasca qu'il faut apprivoiser : coloré, mélodieux, non sans rappeler les explosions orgastiques d'un Luxuria Superbia (2013) !