C'est du pur Ange bleu, en symboles phalliques, bref en "Mandicoteries".
Mais c'est justement pour ça qu'on l'aime l'animal, parce que quand il tient une idée il ne la lâche pas, avec par exemple ses armes affublées de noms de marques de luxe, parce qu'il a compris que quand on a sous les yeux une révélation si étrange que cette Kompromat.
Et quelles que soient les failles de cet "After Blue" je salue le courage de ce garçon, seul sur sa planète cinéma, sorte de fils spirituel d'un Jodorowsky avec son western spatial, orphelin du vrai Z d'antan et capable de ne pas surfer sur le succès de ses "Garçons sauvages" en revenant au cinéma "invendable" de ses courts.